Assemble Générale hebdomadaire du RPG arc-en-ciel, l’ancien parti au pouvoir à répliquer ce samedi 22 mars 2025 par rapport à suspension par le Ministère de l’administration du territoire et de la décentralisation. Le parti déchu, ne compte abandonner leur quotient et il souhaite aller jusqu’au bout, c’est ce qui ressort de cette nouvelle rencontre.

Classé dans la catégorie des 28 partis politiques suspendus, le RPG arc-en-ciel ne veut pas se plier à la décision du ministère de l’administration du territoire et de la décentralisation. En marge de son assemblée générale hebdomadaire, ce sujet était au centre du débat ce samedi 22 mars 2025. Au regard de la situation, Marc yombouno et les membres du RPG estiment qu’ils n’ont rien eu comme subvention de la part des partis au pouvoir.

 »La charte des partis politiques est très claire. Ceux qui s’équipent pour les documents significatif, gestion foncière, les comptes bancaires en cherchant à savoir comment l’argent rentre et comment il sort. Qu’est-ce que le CNRD à donner aux différents partis depuis le 5 septembre 2021? Est-ce qu’il y a un partis, je ne sais pas peut-être les partis qu’ils ont crée, mais les grands partis qu’ils ont suspendu, je prend l’exemple sur RPG, depuis le 05 septembre 2021, est-ce qu’on a eu un franc de subvention pour nous demander des biens justificatifs ou bien comment cet argent a été utilisé ? Dans le discours de nouvel an du président de la transition, il avait dit que cette année sera consacrer uniquement au dialogue instructif, inclusif et participatif. Alors, je me demande pourquoi ce que Mamadi Doumbouya dit, les différents départements ne suivent pas, surtout le ministère de l’administration du territoire et de la décentralisation ? Un département ministériel doit respecter et rester dans l’idéologie du chef de l’Etat ». A rappelé l’ancien ministre du commerce sous l’ère Alpha Condé.

Prenant la parole pour la cause, l’ancien député, Mohamed lamine Kamissoko quand à lui, s’interroge sur les réelles intentions du gouvernement de la transition.


 »Surtout que les biens des partis politiques sont bloqué depuis l’arrivée du CNRD au pouvoir.
Nous voulons dire à nos militants et sympathisants de rester serein par rapport aux différentes prises de décisions du ministère de l’administration. Nous nous rapprochons de rien parce que ce n’est pas nous qui avons fait le coup d’État. Aujourd’hui, le président de la république est en dehors du pays par leur faute, le membres du gouvernement sont en prison, les biens des ministres, des partis politiques confisqués et gelés par leur faute. Je me pose la question comment ces chefs d’administrations peuvent demander aux partis politiques de faire une situation financière
 ». A souligné Mohamed Lamine Kamissoko.

Un bras de fer entre le CNRD et le parti déchu qui focalise les attentions

Mohamed Emir Soumah

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