Les avancées du numériques et les avalanches des sites internet ces derniers temps dans le monde ont tendances à tuer à petit à feu la presse papier. En République de Guinée, bon nombre sont ceux qui se sont laissés emporter par les vagues de l’évolution de la technologie. La presse écrite n’a presque plus de lecteurs, la majorité des clients sont dorénavant accrochés à leurs téléphones car, capables d’obtenir en temps réel toutes les informations du pays et d’ailleurs en un seul clic.
Face à cette agonie de la presse écrite, Alseny Maciré Fofana, directeur de publication tire la sonnette d’alarme et s’indigne des contraintes qu’impose l’évolution du numérique.
Vendeur de journaux depuis 1994, Ibrahima Bah à été témoin de la malheureuse chute de la presse écrite à travers le temps. Entre ses ventes d’avant et de maintenant, l’écart est abyssal.
La conséquence est directe sur les maisons d’éditions. Ce directeur est contraint de mettre certains de ses employés en congés technique. Faute de moyens.
Pour finir, Alseny Maciré Fofana appelle les autorités de voler au secours de la presse écrite.
Impossible de remarquer que la presse électronique est aujourd’hui le moyen le plus rapide et le plus facile de s’imprégner des actualités du monde. La presse papier ne semble plus être de taille pour la concurrence au grand désarroi de ses adeptes qui perdent de l’argent.